Nous avions convenu 10h avec notre taxi collection. Une autre façon de voyager, de partager un instant avec d’autres personnes à la découverte de l’ile.
Tenue Intimissimi
JOUR 9
Nous disons au revoir à Yaqueline, je lui offre une de ces crèmes que j’ai apportées de France. Elle est ravie. Elle nous souhaite bon voyage et je sens dans ses propos qu’elle espère que nous pourrons lui faire un peu de publicité.
Rappelez-vous le couple de touristes que nous avions vu la veille et que Guilhem avait déjà croisé à Playa Larga… et bien voilà qu’ils sont dans notre « colectivo ». Le hasard est tellement amusant.
Il y aussi cette fille, elle aurait pu s’appeler Elisa ou simplement Lisa. Une jolie brune, qui parle facilement avec tout le monde. Française. Cheveux ondulés, robe à fleurs et sandales à pierres.
Elle nous raconte qu’elle voyage seule. Que son amie l’a plantée deux semaines avant et que finalement elle profite aussi. Qu’elle rencontre beaucoup de monde et qu’elle ne ressent pas la solitude. Elle a l’air épanouie et cela la rend encore plus jolie.
Et puis il y a ce couple de norvégiens qui, si j’ai bien compris, vit à Curaçao. Ils sont mignons et nous les reverrons encore plus tard.
1 heure et demie plus tard, nous arrivons à Trinidad. La région a connu de fortes pluies depuis hier soir. Les premières du Printemps. Yaqueline nous disait qu’être mouillé par cette pluie prévenait des maladies. On sera donc en bonne santé.
J’attendais Trinidad avec impatience. J’avais la sensation que cette ville allait être mon moment préféré du voyage.
Nous arrivons et les rues pavées nous étonnent. Les couleurs des maisons. Les ruelles adorables.
Le sol est mouillé, c’est la première fois que nous voyons ça depuis notre arrivée.
Le taxi nous laisse non loin de notre casa. Nous nous y rendons à pieds. Le soleil fait de timides apparitions, il fait très chaud et je prie pour que nous puissions encore bronzer pendant les prochains jours (j’imagine déjà ma maman me dire « ha mais tu n’as pas trop bronzé » et là, je serais dépitée).
Notre chambre est à l’étage d’une maison où vivent Yaqueline (encore une), son mari, les parents et la tante. Une famille réunie sous un même toit.
Nous avons une entrée privée et une terrasse rien que pour nous. La chambre est très grande, sent bon et la salle de bain est parfaite. Nous allons être bien.
Guilhem ne se sent toujours pas bien. Il refuse de manger et profite de l’après-midi nuageuse pour dormir. Je me dis que si le sommeil le prend comme ça, ce n’est pas bon signe. J’ai peur qu’il ait les mêmes symptômes que moi.
Je le laisse se reposer et en profite pour commencer la rédaction de ces articles sur notre jolie terrasse. Je prépare mon planning de retour. Faire mon planning m’a toujours relaxée, j’adore organiser mes journées, cela me fait beaucoup de bien.
Vers 16h, le soleil tente des apparitions plus ou moins réussies. Je réveille Guilhem et lui propose d’aller visiter la ville.
On découvre alors Trinidad, ses couleurs, ses odeurs, son centre piéton. On se pose sur des marches et nous nous amusons à essayer détecter les français. On est plutôt bon à ce jeu.
Le soleil est maintenant là. On se promène et faisons quelques haltes de temps en temps – en fonction de la fatigue de mon chéri.
J’avais demandé à Yaqueline si elle connaissait la rue Smith. Nos amis Marocains nous avait donné cette adresse, ils devaient arriver le même jour que nous.
Le soir Yaqueline m’indique comment nous y rendre et me donne la carte d’un restaurant pour le diner. Guilhem va mieux.
On se perd alors dans cette Trinidad et ses rues pavées. On demande à une femme qui nous indique une rue qui n’est pas la bonne. On finira même par trouver le directeur de l’association de quartier. Le Google Maps du coin en quelques sortes. Il nous dit, droite, gauche puis droite. Trop simple, on a trouvé.
La femme de la casa Smith nous prend pour Mehdi et Hind. On lui explique que nous sommes des amis, que nous voulions savoir s’ils étaient arrivés. Il est 19h15, ils ne sont pas là.
On lui indique alors le restaurant où nous avons prévu d’aller manger. Au cas où ils souhaiteraient nous rejoindre.
Le restaurant s’appelle La Esquerra et se trouve en plein cœur du centre historique, devant les grands escaliers.
On y mange très bien. Je crois avoir commandé une simple omelette car il n’y avait pas beaucoup d’options végétariennes mais Guilhem et son filet de poisson à la meunière ont été un succès.
On voit à nouveau le ciel qui se couvre dans la nuit. On finit par se ne plus savoir si le ciel est bleu foncé, sans étoiles ou si un nuage recouvre tout le toit. Finalement, il fera beau demain.
Après mangé nous passons par Smith. Pas de marocains. Ils ont dû changer de plans.
On va alors se coucher, en espérant que la nuit soit moins agitée pour mon amoureux.
JOUR 10
En nous levant le matin, le soleil est revenu. Quelle chance, on va encore pouvoir bronzer. Alors oui, à cet instant précis c’est ma préoccupation première, j’entends déjà ma mère et mes copines me charier parce que je n’ai pas « beaucoup bronzé ».
Bref, nous concluons avec Yaqueline, qu’un taxi viendra nous chercher sur les coups de 9h. Hyper tôt, hyper cool, à nous la plage, le sable fin et les cocotiers.
L’homme bien peu aimable nous fait monter dans son taxi. On lui demande de passer par un distributeur, on est encore à sec. Maintenant que je suis rentrée en France et que j’ai vu combien tous ces retraits m’ont coûté, je regrette de ne pas avoir mieux gérer (7euros par retrait HAAAA).
Il fait un temps de rêve. Grand soleil, la vie commence à prendre, les gens vont au travail, nous profitons de cette ambiance et de cette atmosphère.
Sur la route, nous nous arrêtons à un carrefour. Comme si de rien. L’homme qui conduit parle joyeusement par dessus la fenêtre passager. Ici les fenêtres sont toujours ouvertes.
Il parle à cette femme en habit de travail, ils ont l’air de bien s’aimer, d’être de bons amis.
Il finit par nous demander si cela nous dérange qu’elle vienne avec nous. Elle est « travailleuse ».
Bien sûr que non ! Montez madame ! Elle est gênée parce qu’elle est avec sa stagiaire. Et alors ? Trop chouette de partager un taxi avec vous. Elles montent.
La femme sent bon, je l’imagine déjà se pouponner tous les matins devant son miroir. Elle est coquette et son rire est adorable. Elle essaie de nous faire prendre part à la conversation avec le chauffeur. On renvoie des sourires de politesse parce que, franchement, avec le bruit du moteur, on ne comprend rien.
La femme travaille dans l’hôtel de la Playa Ancon. Exactement là où nous voulons aller.
Nous arrivons devant un terrain trempé qui nous sépare de la plage. On paye le taxi qui a gagné un petit sourire grâce à la femme au parfum charmant.
Après avoir trouver le meilleur moyen de traverser cette mare on hésite. Gauche ? Droite ? Plutôt droite. On trouve un parasol de feuilles de palmier libre. Il est tôt, la plage est encore calme.
Il y a ces hommes qui nettoient la plage. Ils font des tas d’algues qu’une benne viendra ensuite récupérer. Ou, plutôt, qu’ils mettront ensuite dans une benne. Le tracteur de la benne est d’ailleurs ultra moderne. On n’a jamais vu ça depuis que l’on est là ! Ca nous étonne et on se dit que l’ouverture du pays se fait voir de temps en temps, c’est chouette.
Ces hommes forts passeront le reste de leur journée sous l’arbre derrière nous, à discuter de tout et de rien, à refaire le monde aussi peut-être. Le soleil tape très fort.
La plage commence à se remplir. C’est un monde de touristes mais on sait à quoi s’attendre et cela ne nous gène pas du tout.
Nous passerons la journée à tourner autour de notre parasol au gré du soleil. L’important est que la bouteille d’eau et l’appareil photo restent à l’ombre.
Je crois n’avoir jamais autant larvé sur une plage. L’eau était parfait, le soleil excellent et le sable d’une douceur à toute épreuve.
Nous nous prenons une citronnade, absolument délicieuse. C’est un homme en t-shirt à manches longues qui prend les commandes et nous apporte le tout. Il est vraiment très agréable et donne envie de consommer. Plus tard, j’irai même me commander un sandwich « vegetariano con poco queso » pour me régaler sous notre parasol de palmier.
Je me fais d’ailleurs doublé par un homme tellement peu irrespectueux. Il arrive, je faisais la queue derrière une dame. Une place se libère au comptoir. Je n’y vais pas car la femme devant moi est effectivement « devant » moi donc « avant » moi.
Il me fait signe de « vous allez pas au comptoir ? » « non, il y a la dame devant moi ». Il s’y met alors.
La femme est servie. Ca va être mon tour. Le barman n’a pas tout suivi et se tourne ensuite naturellement vers l’homme au comptoir. J’imagine qu’il va lui dire que j’étais avant lui…et bien non ! Je le regarde avec des yeux de merlan frit et juronne dans ma tête. Je prépare ma phrase de « à l’avenir, n’hésitez pas à dire s’il y a du monde devant vous » pour son départ. Finalement, il est servi, on me demande ce que je veux, je n’ai ni le courage ni le temps de lui dire ces mots, je commande mon sandwich.
Je viderai mon sac auprès de mon chéri. Ca m’aura fait du bien.
Guilhem se motive pour enfin manger quelque chose. Il va chercher un sandwich à son tour. Ne mentionne pas le « poco queso ». Quelques temps plus tard il sera très, très malade.
Vers 17h30 on se dirige vers ces hommes sous l’arbre plus loin. Ce sont des taxis. On leur propose d’attendre que deux autres personnes se joignent pour partager la course.
On finit par trouver un couple de français qui nous raconte qu’ils étaient à la Havane au moment du défilé Chanel. Qu’ils ont vu Karl (Lagarfeld) et Marion (Cotillard). Que le contraste Luxe/Pauvreté était saisissant. On parle aussi du tournage de fast and furious. De ce qu’ils vont visiter plus tard. On échange pendant un moment puis arrivons à nouveau à Trinidad.
En rentrant, je propose à Guilhem de rester coucher, de se reposer. On ira faire les photos demain. Il fait une lumière magnifique, ça tombe mal mais ce n’est pas grave.
Je vais donc faire un tour, chercher de l’eau quelque part. J’ai vu des gens circuler avec des bouteilles de 5l. C’est ça qu’il nous faut.
Je finis par trouver une superette. Un lieu rare à Cuba ! Il y a même un endroit où l’on achète de la viande. Il y a du savon, des bières à l’entrée et, tout au fond, à côté du vin (ou vinaigre, je ne sais plus en fait), les fameuses bouteilles d’eau.
J’en prends une et rentre à la maison.
Nous n’avons pas faim. Enfin, moi, je serais bien sortie pour casser la croute par plaisir mais Guilhem se sent mal. Il boit beaucoup pour éviter de se déhydrater – on se rappelle quand j’étais malade.
Finalement, vers 23h, à force de l’entendre vomir, je finis par préparer ses affaires et appeler Yaqueline. J’ai honte de la déranger à cette heure-ci et me rassure en sachant qu’elle ne travaille pas le lendemain.
Elle est en pyjama et me dis, telle une maman, de ne pas me préoccuper, que l’on va aller à la clinique.
On sort de la maison, Guilhem est faible. Il nous faut trouver un bicy-taxi car la clinique est trop loin pour que mon amoureux y aille à pied.
Les voisins sont sur leur pas de porte, ils discutent. Yaqueline leur raconte que nous allons à la clinique. Que le muchacho se sent mal.
Et le voisin de sortir son bicy-taxi de son salon. Une scène mémorable, inoubliable. Une gentillesse à toute épreuve. Une humanité précieuse !
On restera alors 3h à la clinique. Même problème mais infection dans le système digestif, il faudra prendre des antibiotiques.
Yaqueline est restée avec nous. On a fini par s’assoir sur des chaises aux bords du lit de Monsieur. J’ai trouvé une couverture pour me protéger de la climatisation. Toutes les deux, on discute, on refait le monde. Je la questionne sur le fonctionnement de Castro. Sur ses envies d’avoir des enfants, sur sa vie. J’apprends beaucoup d’elle et je suis vraiment ravie que ce moment nous ait permis d’échanger autant.
Vers 1h il va mieux. Après quelques formulaires administratifs et 200 dollars en moins, on rentre. Notre bicy-taxi nous attendait encore. La bienveillance.
En arrivant, la tante de Yaqueline m’avait préparé un sandwich, je meurs de faim. Il y aussi une tisane pour mon amoureux, le médecin le recommande.
On finira par s’endormir sans rien prévoir pour le lendemain. On verra bien.
JOUR 11
Aujourd’hui Guilhem va mieux. Petit déjeuner léger, la forme revient. Il boit son eau salée pour réhydrater son corps. Ca n’a pas vraiment bon goût mais il boit.
Je demande à Yaqueline quelle balade nous pourrions faire dans la montagne ? Un truc facile, que nous puissions faire aujourd’hui.
Elle appelle un ami à elle qui nous emmènera au « Tope » à la cascade de Caburní. On monte, la voiture a du mal à suivre. La voie est en reconstruction. On s’arrête d’abord à un mirador, ça nous fait un bien fou. Le grand air, la liberté, la vue qui se perd dans l’horizon et tout ce vert ! Ca nous donne encore plus envie d’aller découvrir Hawaï et l’île de la Réunion…
On reprend la route, il y a une petite fête dans la ville de Caburní. Le taxi nous dépose au début d’une route en pente. Il nous dit qu’il faut une heure pour descendre et une heure pour monter. On se retrouve donc dans 3h pour pouvoir profiter de la cascade.
Génial !
Ni une ni deux, nous voilà en route pour la cascade. Il fait un soleil de plomb. L’entrée dans la zone coûte 10 euros. Quand je vous dis que tout le tourisme est cher ici !
On prendra notre temps, la pente est vraiment raide. Il y a cette petite cabane où on peut acheter du nougat et des cacahuètes. Je sais que je vais finir par avoir faim, peut-être que je devrais en acheter ? Guilhem me ramène à la raison. Plus aucun aliment de la rue ne viendra dans mon estomac !
On a mis un peu plus d’une heure pour descendre. On s’arrêtait régulièrement pour profiter et se poser. C’est pas non plus la grande forme, n’oublions pas.
En arrivant, il y a quelques personnes en bas. Exclusivement des touristes d’ailleurs. Il y a ceux qui sont descendus en tongs et, au contraire, ceux qui ont leurs chaussures de rando. On admire le paysage. On ne se baigne pas. Pas envie, tout simplement.
Avant de repartir, on monte tout en haut pour admirer le début de la cascade. C’est magnifique. Le sol est lisse par le passage de l’eau. Les gens mesurent quelques petits centimètres quand ils sont tout en haut.
C’est parti pour la montée.
Finalement, je crois que la descente était plus pénible que la montée. Il est moins dangereux de monter que de descendre. Alors on s’arrête deux ou trois fois et finissons par arriver tout en haut, où notre taxi nous attend. Les derniers mètres sont éprouvants tellement le sol est en pente. Je prends sur moi pour ne pas m’affaler sur le sol, juste 30 secondes. Je grimpe les mains sur les genoux, hop hop hop. On y arrive.
Quand on redescend, le taxi nous laisse en ville. On rejoindra la maison à pieds, on commence à bien connaître après nos escapades nocturnes.
Après être rentrés en vitesse, nous repartons pour le shooting manqué de la veille. Je voulais absolument profiter du lieu, la lumière est devenue pourrie, on n’est dans un mood moyen pour shooter mais j’espère que les photos rendront tout de même.
Le soir, Yaqueline et sa tante nous attendaient avec un « caldo » bien chaud et quelques légumes. Parfait pour notre état. On leur raconte notre journée, comment nous avons apprécié l’air pur de la montagne. Comment nous allons avoir des courbatures aux fesses le lendemain. Et nous les remercions pour toutes leurs attentions.
Yaqueline nous montre l’avancée des travaux derrière chez elle. Elle veut agrandir pour louer aux touristes. Elle a des projets, je suis épatée par cette femme.
On prend conscience d’une chose : il ne nous reste que 2 épisodes d’Hawaï 5-0. Alors quoi ? Soit on les garde pour l’avion (car à l’aller, rappelez-vous, il n’y avait pas de télés et ça sera toujours ça de pris) soit on fait les YOLO et on les regarde.
On les a gardés !
Le matin, nous avions été acheter nos billets de bus pour le lendemain. On partira pour le Cayo Santa Maria. Sans maison. Sans but. Juste avec l’envie de découvrir ! Cette fin sera époustouflante c’est certain !
Comments
comments
Ton écriture… avec ces écrits j’ai l’impression de voyager ! Les photos sont très belles ! Vous utilisez quel objectif lors de vos voyages ?
Merci beaucoup :))
GG est un coquin et veut garder son matériel secret 🙁 navrée de ne pas pouvoir te répondre.
Bisous
Article plus long que d’habitude pour mon plus grand bonheur. J’ai vraiment l’impression de lire un bouquin. On s’y projette facilement et pourtant c’est si bien écrit. Ce contraste est intéressant et donne envie d’en lire davantage à chaque fois.
Bon cette fois ci j’espère que les séjours à l’hôpital c’est fini 😉
Mon chéri et moi adorons Hawai 5-0 nous venons d’ailleurs de regarder un épisode. J’ai l’impression de voyager quand je vois les paysages (et j’avoue je craque un peu sur McGarret mais ca faut pas le dire au dit chéri ;-))
Vivement demain pour la suite 😀
(et j’adore ta tenue et ta petite danse dans la vidéo :-p)
C’est un réel plaisir de lire tes articles et encore plus des articles de voyages j’adore !! les photos sont magnifique bravo au photographe !!!!!
Oh Safia mais ne t’arrête plus d’écrire !!! Ton récit est si fluide et agréable à lire… C’est comme si j’étais assise au soleil avec un bon thé, et que tu me racontais ton voyage.
C’est incroyable cette force que tu as à travers tes écrits. Tu as ce petit quelque chose que les écrivains ont : nous faire vivre l’histoire, nous transporter, arrêter notre présent pour vivre un autre temps…
Mais disons le, les photos sans ton récit, ou ton récit sans les photos, ça ne serait pas vraiment ton article. Pour moi c’est ta marque de fabrique, ton petit plus à toi, auquel je ne me lasse pas…
J’adore regarder tes vidéos, mais également te lire! C’est tellement apaisant! En plus, depuis peu je me découvre une passion pour lire .. La vie étudiante est tellement raide, que quand nous sommes en vacances, on profite de temps comme ça, tellement agréable pour se poser, et bouquiner. Mais désormais, je lirais tous tes articles, car ils sont tellement bien écrit ..
J’ai tellement hâte que tu nous arrives au Mans, pour enfin te rencontrer, et te dire quelques mots. C’est pour nous, Magique que tu viennes, en effet, tu seras la première à venir nous rendre visite. Je suis ravie, effectivement, tu es une des youtubeuses que j’admire. Depuis que tu as pris ton envole, je te trouve radieuse et j’apprécie de plus en plus tes vidéos.
Tu me donnes tellement envie de partir de telles en itinérance .. Adepte des séjours organisés avec mes parents.. L’Amérique latine me fait rêver .. Je pense qu’il est d’autant plus intéressant de visiter ces pays comme tu le fais, et non en pension complète, comme nous Français, sommes habitués ..
Gros bisous Safia, hâte de te lire pour ton prochain post. xxx
Coucou !
Magnifique récit, j’ai adoré !
J’ai remarqué une nouvelle faute de frappe : « On finit par se ne plus savoir […] » (par se ne plus … ?) 🙂
Bonne journée !
Sympa ! Ça me donne vraiment envie d’aller à Cuba 🙂
Encore un superbe récit de voyage, j’aime beaucoup ton écriture. Elle parait paisible, on dirait que tu nous raconte une histoire presque en chuchotant, des souvenirs pleins la tête et on s’imagine a ta place. Merci de nous faire voyager ainsi !
Un réel plaisir de te lire. Tes articles donnent envie de soleil, de vacances, de profiter de la vie ! Et surtout, ils donnent envie de découvrir Cuba ! Merci pour ces jolies descriptions ! Décidément, ton amoureux et toi, n’avaient pas eu de chance, côté santé 🙁
Au plaisir, de te lire de nouveau.
Bisous et bon courage pour ta première séance de dédicaces 🙂
je me permet de t’ecrire sur un autre article mais c ‘est un peu urgent
tu es sublime et les maillots aussi je fais du 85 b tu me conseillerai quelle taille pour le maillot baobab et il ne tombe pas un peu ? tu pourra faire une video ou un article sur comment avoir un ventre plat ?
ps je parle de l’article sur la plage a cuba
J’aime tellement cette serie d’article ! ; )
Je l’imagine déjà se *pomponner au lieu de pouponner ^^
Pourquoi ne pas mettre plus de photos de paysage ? Tu parles d’une plage et d’une cascade magnifiques mais pas de photos pour illustrer, ca laisse un peu sur notre faim…
Parce que je n’en n’ai pas prise, j’ai profité de l’instant et voilà 🙂 bisous
Pas assez de photos 🙁 par exemple la cascade
Quand je suis en vacances je ne pense pas forcément à ce que je vais écrire après… je profite et c’est tout 🙂 bisettes
J’ai l’impression que tu n’as pas fini les récits de Cuba, il manque une fin, tu ne racontes pas Cayo Santa Maria.
Oui tu as raison… j’ai été embarquée dans d’autres aventures 😀
HEY :))
je pars dans un mois à Cuba tu es mon routard mais je n’ai pas la fin de ton magnifique voyage …..
help me Safichou besos
:)) c’est vrai qu’à mon retour je n’ai plus eu le temps de rédiger les articles. Après Trinidad nous sommes allés sur le Cayo Santa Maria (en bus) puis sommes rentrés a La Havane une nuit pour rentrer chez nous le lendemain 🙂